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Maman Tigre : une éducation stricte - vos avis
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<blockquote data-quote="Sonia" data-source="post: 480224" data-attributes="member: 1999"><p>Article du Parisien 9 février 2011</p><p></p><p><span style="font-size: 15px">Aux Etats-Unis, les « mamans animaux » ont la cote. Après la « maman grizzli », prête à tout pour protéger ses petits et incarnée par la conservatrice <a href="http://actualites.leparisien.fr/sarah+palin.html" target="_blank">Sarah Palin</a>, une nouvelle femme à forte tête nourrit la controverse : la « maman tigre ». La simple évocation de son nom fait vaciller la théorie de l’enfant roi. </span></p><p><span style="font-size: 15px"> </span></p><p><span style="font-size: 15px"> </span></p><p><span style="font-size: 15px"> Elle s’appelle Amy Chua, enseigne le droit à la très prestigieuse université de Yale (Connecticut), et prône dans son ouvrage, « Hymne de bataille d’une mère tigre », l’éducation « à la chinoise », qu’elle oppose à l’éducation « laxiste » des sociétés occidentales. Au fil des pages, cette fille d’immigrés chinois, mariée à l’un de ses confrères enseignants, développe sa propre expérience de maman, ou comment grâce à des méthodes louant la coercition, le sens de l’effort et l’élitisme, elle a fait de ses filles, Sophia, 18 ans, et Louisa, 14 ans, deux bêtes de concours.</span></p><p><span style="font-size: 15px"> Traiter ses filles de « boudin » les incite à se dépasser</span></p><p><span style="font-size: 15px"> Interdiction d’obtenir moins de 20/20 à l’école, de ne pas être première dans toutes les matières — exceptés le sport ou l’expression dramatique —, interdiction de jouer un autre instrument que le piano ou le violon, et au moins trois heures par jour, de dormir chez des copines, interdiction de regarder la télé ou de jouer à l’ordinateur… Les journées des enfants d’Amy Chua ne leur offrent pas un instant de répit, et leur mère ne leur accorde pas le moindre droit à l’erreur.</span></p><p> <span style="font-size: 15px">Sans complexes sur la rudesse de ses méthodes, elle explique dans son livre et sur les nombreux plateaux télé où elle est invitée comment elle a refusé la carte d’anniversaire que ses filles lui avaient confectionnée, sous prétexte qu’elles l’avaient « bâclée ». Ou encore comment le fait de traiter ses filles de « boudin » ou de « pourriture » les incite à « se dépasser ». Les parents de l’Ouest seraient selon la « <em>tiger mum </em>» trop indulgents à l’égard de leurs enfants, les privant de leur capacité à « tirer le meilleur » d’eux-mêmes.</span></p><p> <span style="font-size: 15px">« Le résultat est là », tranche Amy Chua, en listant le nombre de prodiges chinois. Quant à ses filles, la méthode semble fonctionner : à 14 ans, son aînée se produisait en récital de piano sur la prestigieuse scène new-yorkaise du Carnegie Hall. Et toutes deux ont plusieurs années d’avance à l’école. Seul échec : sa cadette, Lulu, s’est « rebellée » et a préféré le tennis au violon.</span></p><p> <span style="font-size: 15px">Amy Chua concède que cette éducation doit être associée à « beaucoup d’amour », et à une « véritable mobilisation des parents ». « Je fais aussi beaucoup d’autodérision », dit-elle en souriant. Peut-être incomprise.</span></p></blockquote><p></p>
[QUOTE="Sonia, post: 480224, member: 1999"] Article du Parisien 9 février 2011 [SIZE=4]Aux Etats-Unis, les « mamans animaux » ont la cote. Après la « maman grizzli », prête à tout pour protéger ses petits et incarnée par la conservatrice [URL="http://actualites.leparisien.fr/sarah+palin.html"]Sarah Palin[/URL], une nouvelle femme à forte tête nourrit la controverse : la « maman tigre ». La simple évocation de son nom fait vaciller la théorie de l’enfant roi. Elle s’appelle Amy Chua, enseigne le droit à la très prestigieuse université de Yale (Connecticut), et prône dans son ouvrage, « Hymne de bataille d’une mère tigre », l’éducation « à la chinoise », qu’elle oppose à l’éducation « laxiste » des sociétés occidentales. Au fil des pages, cette fille d’immigrés chinois, mariée à l’un de ses confrères enseignants, développe sa propre expérience de maman, ou comment grâce à des méthodes louant la coercition, le sens de l’effort et l’élitisme, elle a fait de ses filles, Sophia, 18 ans, et Louisa, 14 ans, deux bêtes de concours. Traiter ses filles de « boudin » les incite à se dépasser Interdiction d’obtenir moins de 20/20 à l’école, de ne pas être première dans toutes les matières — exceptés le sport ou l’expression dramatique —, interdiction de jouer un autre instrument que le piano ou le violon, et au moins trois heures par jour, de dormir chez des copines, interdiction de regarder la télé ou de jouer à l’ordinateur… Les journées des enfants d’Amy Chua ne leur offrent pas un instant de répit, et leur mère ne leur accorde pas le moindre droit à l’erreur. Sans complexes sur la rudesse de ses méthodes, elle explique dans son livre et sur les nombreux plateaux télé où elle est invitée comment elle a refusé la carte d’anniversaire que ses filles lui avaient confectionnée, sous prétexte qu’elles l’avaient « bâclée ». Ou encore comment le fait de traiter ses filles de « boudin » ou de « pourriture » les incite à « se dépasser ». Les parents de l’Ouest seraient selon la « [I]tiger mum [/I]» trop indulgents à l’égard de leurs enfants, les privant de leur capacité à « tirer le meilleur » d’eux-mêmes. « Le résultat est là », tranche Amy Chua, en listant le nombre de prodiges chinois. Quant à ses filles, la méthode semble fonctionner : à 14 ans, son aînée se produisait en récital de piano sur la prestigieuse scène new-yorkaise du Carnegie Hall. Et toutes deux ont plusieurs années d’avance à l’école. Seul échec : sa cadette, Lulu, s’est « rebellée » et a préféré le tennis au violon. Amy Chua concède que cette éducation doit être associée à « beaucoup d’amour », et à une « véritable mobilisation des parents ». « Je fais aussi beaucoup d’autodérision », dit-elle en souriant. Peut-être incomprise.[/SIZE] [/QUOTE]
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