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les linkers interdits en France
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<blockquote data-quote="Fred" data-source="post: 605239"><p style="text-align: center"><em><strong><span style="color: dimgray">La Cour d’appel de Paris a tranché dans une affaire dont les prémices remontent à décembre 2009. Après un dernier échec en référé au mois de septembre, Nintendo parvient à faire interdire en France la vente de linkers destinés à l’exécution de jeux piratés sur les consoles portables de la gamme DS.</span></strong></em></p> <p style="text-align: center"></p> <p style="text-align: center"><em><strong><span style="color: dimgray">Le groupe japonais obtient par ailleurs la condamnation en référé de six sociétés importatrices de ces dispositifs, qu’elles revendaient à l’international.</span></strong></em></p> <p style="text-align: center"></p> <p style="text-align: center"><em><strong><span style="color: dimgray">Condamné au même titre qu’Absolute Games, Assentek, FL Games et Hobby One, Divineo écope de la plus lourde sanction financière, avec 460 000 euros d’amende.</span></strong></em></p> <p style="text-align: center"><em><strong><span style="color: dimgray">Une peine de deux ans de prison avec sursis a été requise et approuvée, à l’encontre de ses représentants. Quant au montant cumulé des dommages et intérêts pour violation de propriété intellectuelle et contrefaçon de marque, il frôle les 5 millions d’euros.</span></strong></em></p> <p style="text-align: center"><em><strong><span style="color: dimgray">« Nous n’hésiterons pas à poursuivre en justice ceux qui contreviennent à cette décision« , a déclaré Véronique Vasse, chargée des affaires juridiques de Nintendo France.</span></strong></em></p> <p style="text-align: center"><em><strong><span style="color: dimgray">Mais les revendeurs, essentiellement basés en Chine, pullulent encore sur la Toile, où circulent des linkers à foison, tels que le R4 et le CycloDS.</span></strong></em></p> <p style="text-align: center"><em><strong><span style="color: dimgray">En outre, la communauté se tournera certainement vers des subterfuges logiciels comme l’ont déjà fait les inconditionnels de la PlayStation Portable.</span></strong></em></p> <p style="text-align: center"><em><strong><span style="color: dimgray">Pour rappel, le processus revient à insérer dans le linker une carte mémoire depuis laquelle l’utilisateur exécute à sa guise des roms (images numériques des cartouches physiques), illégalement s’il n’en possède pas l’original.</span></strong></em></p> <p style="text-align: center"><em><strong><span style="color: dimgray">Généralisée avec l’avènement des formats dématérialisés, cette pratique dénommée « dump » consiste à extraire d’un support physique des données recompilées en un fichier, en l’occurrence d’extension .nds pour la Nintendo DS.</span></strong></em></p> <p style="text-align: center"><em><strong><span style="color: dimgray">Le phénomène touche également la console Wii, mais ses origines remontent à la Nintendo 64.</span></strong></em></p> <p style="text-align: center"></p> <p style="text-align: center"><em><span style="color: #696969">source ITespresso</span></em></p></blockquote><p></p>
[QUOTE="Fred, post: 605239"] [CENTER][I][B][COLOR=dimgray]La Cour d’appel de Paris a tranché dans une affaire dont les prémices remontent à décembre 2009. Après un dernier échec en référé au mois de septembre, Nintendo parvient à faire interdire en France la vente de linkers destinés à l’exécution de jeux piratés sur les consoles portables de la gamme DS.[/COLOR][/B][/I] [I][B][COLOR=dimgray]Le groupe japonais obtient par ailleurs la condamnation en référé de six sociétés importatrices de ces dispositifs, qu’elles revendaient à l’international.[/COLOR][/B][/I] [I][B][COLOR=dimgray]Condamné au même titre qu’Absolute Games, Assentek, FL Games et Hobby One, Divineo écope de la plus lourde sanction financière, avec 460 000 euros d’amende.[/COLOR][/B][/I] [I][B][COLOR=dimgray]Une peine de deux ans de prison avec sursis a été requise et approuvée, à l’encontre de ses représentants. Quant au montant cumulé des dommages et intérêts pour violation de propriété intellectuelle et contrefaçon de marque, il frôle les 5 millions d’euros.[/COLOR][/B][/I] [I][B][COLOR=dimgray]« Nous n’hésiterons pas à poursuivre en justice ceux qui contreviennent à cette décision« , a déclaré Véronique Vasse, chargée des affaires juridiques de Nintendo France.[/COLOR][/B][/I] [I][B][COLOR=dimgray]Mais les revendeurs, essentiellement basés en Chine, pullulent encore sur la Toile, où circulent des linkers à foison, tels que le R4 et le CycloDS.[/COLOR][/B][/I] [I][B][COLOR=dimgray]En outre, la communauté se tournera certainement vers des subterfuges logiciels comme l’ont déjà fait les inconditionnels de la PlayStation Portable.[/COLOR][/B][/I] [I][B][COLOR=dimgray]Pour rappel, le processus revient à insérer dans le linker une carte mémoire depuis laquelle l’utilisateur exécute à sa guise des roms (images numériques des cartouches physiques), illégalement s’il n’en possède pas l’original.[/COLOR][/B][/I] [I][B][COLOR=dimgray]Généralisée avec l’avènement des formats dématérialisés, cette pratique dénommée « dump » consiste à extraire d’un support physique des données recompilées en un fichier, en l’occurrence d’extension .nds pour la Nintendo DS.[/COLOR][/B][/I] [I][B][COLOR=dimgray]Le phénomène touche également la console Wii, mais ses origines remontent à la Nintendo 64.[/COLOR][/B][/I] [I][COLOR=#696969]source ITespresso[/COLOR][/I][/CENTER] [/QUOTE]
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