Rechercher
Chercher juste le contenu
Rechercher par titre uniquement
Par:
Chercher juste le contenu
Rechercher par titre uniquement
Par:
Connexion
S'inscrire
Rechercher
Chercher juste le contenu
Rechercher par titre uniquement
Par:
Chercher juste le contenu
Rechercher par titre uniquement
Par:
Menu
Install the app
Installer
Accueil
Forums
Nouveaux messages
Tendances
Rechercher
Quoi de neuf
Nouveaux messages
Nouveaux messages de profil
Dernières activités
Membres
Membres en ligne
Nouveaux messages de profil
Rechercher dans les messages de profil
Répondre à la discussion
Accueil
Forums
Discussion Generale
L' Open Bar du Club
Internet nuit gravement à la santé [ emission]
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, s'il vous plaît activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur non à jour ou ancien. Il ne peut pas afficher ce site ou d'autres sites correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Message
<blockquote data-quote="Fred" data-source="post: 212857"><p>:arrow: résumé de l' émission</p><p></p><p></p><p> </p><p>Un jeune Japonais, passionné de mangas et de jeux vidéo, a tué sept personnes et blessé une dizaine d’autres, dimanche 8 juin 2008, en plein Tokyo. Un massacre qu’il avait annoncé sur Internet dans les heures précédant son passage à l’acte et qui relance le débat sur l’influence de ces jeux sur les joueurs et sur les réglementations concernant leur mise en vente... </p><p></p><p>Il y a sept ans, le Japon était traumatisé par une tuerie à l’arme blanche perpétré dans une école élémentaire et qui avait entraîné le décès de huit enfants. Dimanche 8 juin 2008, le Pays du soleil levant se retrouve à nouveau sous le choc. </p><p></p><p>A l’heure du déjeuner, à Akihabara dans la capitale nippone, quartier surnommé Electric Town, en raison de ses nombreux magasins d’électronique et de jeux vidéo, un jeune homme a foncé à bord d’une camionnette sur la foule avant de poignarder dix-sept personnes en trois minutes, provoquant la mort de sept d’entre elles. </p><p></p><p>Interpellé par la police, le forcené a expliqué qu’il voulait "tuer des gens" parce qu’"il était las de la vie" et qu’"il en avait marre de tout". Par la suite, il a confié aux policiers qu’il avait raconté par le détail son projet de périple mortel sur Internet, en envoyant des messages à partir de son téléphone portable. "Je vais précipiter mon véhicule sur des gens, et s’il devient inutile, je sortirai un couteau. Au revoir à tous", annonçait-il dans un message déposé plusieurs heures avant le massacre, selon les médias japonais. </p><p></p><p>Sur un autre site web, un message anonyme daté du 27 mai, au titre prémonitoire :"Un désastre à Akihabara", avertissait qu’un incident allait se produire "le 5 juin ou un peu plus tard". </p><p></p><p>Cet acte de folie perpétré dans un lieu hautement symbolique par un passionné de mangas, de jeux vidéo et de l’Internet interroge sur les effets des nouvelles technologies sur les usagers. Ces nouveaux outils peuvent-ils être dangereux ? </p><p></p><p>Pour certains, passer des heures devant un écran, manette ou souris à la main, peut se transformer en dépendance et en addiction. Loin d’être une habitude envahissante ni même une passion dévorante, l’addiction est une maladie qui n’a pas de seuil quantitatif mais plutôt des éléments qualitatifs, dont les principaux sont de savoir si le joueur a essayé d’arrêter et n’y arrive pas, et s’il en souffre. Avec la perte de repères temporels, les désordres alimentaires, la désocialisation, l’agressivité comme autant de signaux d’alerte pour le joueur et son entourage. En France, un joueur invétéré sur dix présenterait des signes d’addiction.</p></blockquote><p></p>
[QUOTE="Fred, post: 212857"] :arrow: résumé de l' émission Un jeune Japonais, passionné de mangas et de jeux vidéo, a tué sept personnes et blessé une dizaine d’autres, dimanche 8 juin 2008, en plein Tokyo. Un massacre qu’il avait annoncé sur Internet dans les heures précédant son passage à l’acte et qui relance le débat sur l’influence de ces jeux sur les joueurs et sur les réglementations concernant leur mise en vente... Il y a sept ans, le Japon était traumatisé par une tuerie à l’arme blanche perpétré dans une école élémentaire et qui avait entraîné le décès de huit enfants. Dimanche 8 juin 2008, le Pays du soleil levant se retrouve à nouveau sous le choc. A l’heure du déjeuner, à Akihabara dans la capitale nippone, quartier surnommé Electric Town, en raison de ses nombreux magasins d’électronique et de jeux vidéo, un jeune homme a foncé à bord d’une camionnette sur la foule avant de poignarder dix-sept personnes en trois minutes, provoquant la mort de sept d’entre elles. Interpellé par la police, le forcené a expliqué qu’il voulait "tuer des gens" parce qu’"il était las de la vie" et qu’"il en avait marre de tout". Par la suite, il a confié aux policiers qu’il avait raconté par le détail son projet de périple mortel sur Internet, en envoyant des messages à partir de son téléphone portable. "Je vais précipiter mon véhicule sur des gens, et s’il devient inutile, je sortirai un couteau. Au revoir à tous", annonçait-il dans un message déposé plusieurs heures avant le massacre, selon les médias japonais. Sur un autre site web, un message anonyme daté du 27 mai, au titre prémonitoire :"Un désastre à Akihabara", avertissait qu’un incident allait se produire "le 5 juin ou un peu plus tard". Cet acte de folie perpétré dans un lieu hautement symbolique par un passionné de mangas, de jeux vidéo et de l’Internet interroge sur les effets des nouvelles technologies sur les usagers. Ces nouveaux outils peuvent-ils être dangereux ? Pour certains, passer des heures devant un écran, manette ou souris à la main, peut se transformer en dépendance et en addiction. Loin d’être une habitude envahissante ni même une passion dévorante, l’addiction est une maladie qui n’a pas de seuil quantitatif mais plutôt des éléments qualitatifs, dont les principaux sont de savoir si le joueur a essayé d’arrêter et n’y arrive pas, et s’il en souffre. Avec la perte de repères temporels, les désordres alimentaires, la désocialisation, l’agressivité comme autant de signaux d’alerte pour le joueur et son entourage. En France, un joueur invétéré sur dix présenterait des signes d’addiction. [/QUOTE]
Insérer les citations…
Vérification
Poster une réponse
Haut
Bas