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Des vieux barbares massacrent leur chien
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<blockquote data-quote="Lilirose59" data-source="post: 453654" data-attributes="member: 10658"><p></p><p> </p><p><strong>Pendue, tailladée, jetée dans une rivière. Le calvaire de Dora, une croisée labrador, aura duré plusieurs heures avant qu’elle ne succombe à ses blessures. La Fondation 30 Millions d’Amis réclame la tenue d’un procès, qui - malgré l’identification et les aveux des 3 personnes mises en accusation - n’est pas assuré du fait de la procédure du « plaider coupable ».</strong> </p><p>L’affaire est révélée par le quotidien <em>Le Maine Libre</em> (5/1/11). Au début du mois de janvier, un garde-chasse de Montabon (72) fait une macabre découverte : le corps d’un animal flottant à la surface de l’eau, relié à un bloc de parpaing. Il prévient immédiatement la brigade de gendarmerie de Château-du-Loir, encore loin de se douter du calvaire atroce que vient de vivre Dora, une chienne de 4 ans. Il ne faut que quelques jours aux enquêteurs pour identifier les propriétaires de l’animal, grâce à son tatouage. </p><p><strong>Achevée à la machette</strong></p><p> </p><p>Interrogés par les forces de l’ordre, les deux septuagénaires vont alors raconter l’inimaginable. Ne souhaitant plus garder Dora, leur femelle labrador croisée boxer, le couple décide de la donner à une amie. Lassée des fugues de la jeune chienne, celle-ci décide s’en débarrasser et… la pend à un arbre de son jardin. Mais Dora survit. Ce sont les anciens maîtres de la chienne, qui, pour aider cette « amie », achèveront le pauvre animal à coups de machette... Son corps sera ensuite lesté d’un parpaing et jeté dans la rivière. </p><p><strong>Des aveux... et pas de procès ?</strong></p><p> </p><p>Les trois protagonistes, qui ont reconnu les faits devant les gendarmes, sont convoqués devant le délégué du procureur du Mans pour une composition pénale (9/2/11). Cette procédure, appelée également le « plaider coupable », permet au magistrat de proposer une ou plusieurs mesures à une personne reconnaissant avoir commis certains délits (parmi lesquels les sévices contre les animaux), comme des amendes, des stages de citoyenneté ou encore des travaux d’intérêt général... Les peines encourues sont d’une durée moindre que celles prévues par un tribunal correctionnel. Et aucune peine de prison ne peut être prononcée, alors que le code pénal prévoit – pour une procédure dite normale – jusqu’à 2 ans de prison avec sursis et 30 000 euros d’amende. </p><p>La Fondation 30 Millions d’Amis, partie civile dans ce dossier, souhaite avec force une requalification des faits pour qu’un véritable procès puisse se tenir, et les auteurs de ces actes barbares, jugés. Les bourreaux d’animaux demeurent trop souvent impunis, et la Fondation 30 Millions d’Amis, en se constituant partie civile, contribue à une meilleure sensibilisation des juges quant au caractère sensible de l’animal.</p></blockquote><p></p>
[QUOTE="Lilirose59, post: 453654, member: 10658"] [COLOR=#0000ff][/COLOR] [B]Pendue, tailladée, jetée dans une rivière. Le calvaire de Dora, une croisée labrador, aura duré plusieurs heures avant qu’elle ne succombe à ses blessures. La Fondation 30 Millions d’Amis réclame la tenue d’un procès, qui - malgré l’identification et les aveux des 3 personnes mises en accusation - n’est pas assuré du fait de la procédure du « plaider coupable ».[/B] L’affaire est révélée par le quotidien [I]Le Maine Libre[/I] (5/1/11). Au début du mois de janvier, un garde-chasse de Montabon (72) fait une macabre découverte : le corps d’un animal flottant à la surface de l’eau, relié à un bloc de parpaing. Il prévient immédiatement la brigade de gendarmerie de Château-du-Loir, encore loin de se douter du calvaire atroce que vient de vivre Dora, une chienne de 4 ans. Il ne faut que quelques jours aux enquêteurs pour identifier les propriétaires de l’animal, grâce à son tatouage. [B]Achevée à la machette[/B] Interrogés par les forces de l’ordre, les deux septuagénaires vont alors raconter l’inimaginable. Ne souhaitant plus garder Dora, leur femelle labrador croisée boxer, le couple décide de la donner à une amie. Lassée des fugues de la jeune chienne, celle-ci décide s’en débarrasser et… la pend à un arbre de son jardin. Mais Dora survit. Ce sont les anciens maîtres de la chienne, qui, pour aider cette « amie », achèveront le pauvre animal à coups de machette... Son corps sera ensuite lesté d’un parpaing et jeté dans la rivière. [B]Des aveux... et pas de procès ?[/B] Les trois protagonistes, qui ont reconnu les faits devant les gendarmes, sont convoqués devant le délégué du procureur du Mans pour une composition pénale (9/2/11). Cette procédure, appelée également le « plaider coupable », permet au magistrat de proposer une ou plusieurs mesures à une personne reconnaissant avoir commis certains délits (parmi lesquels les sévices contre les animaux), comme des amendes, des stages de citoyenneté ou encore des travaux d’intérêt général... Les peines encourues sont d’une durée moindre que celles prévues par un tribunal correctionnel. Et aucune peine de prison ne peut être prononcée, alors que le code pénal prévoit – pour une procédure dite normale – jusqu’à 2 ans de prison avec sursis et 30 000 euros d’amende. La Fondation 30 Millions d’Amis, partie civile dans ce dossier, souhaite avec force une requalification des faits pour qu’un véritable procès puisse se tenir, et les auteurs de ces actes barbares, jugés. Les bourreaux d’animaux demeurent trop souvent impunis, et la Fondation 30 Millions d’Amis, en se constituant partie civile, contribue à une meilleure sensibilisation des juges quant au caractère sensible de l’animal. [/QUOTE]
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